[jour 4] poste de garde

Alucard, toujours de trés mauvaise humeur, se dirigea directement vers le garde le plus gradé qu'il vu. Quel que soit son occupation, il l'interpella.

Salut, mon gars.

Bon je dois m'occuper d'escorter un convois, et tu dois me fournir le matos. C'est où l'armurerie?

-hum? A oui c'est vrai le maire m'avais promis quelques personnes pour le convois d'aujourd'hui. Suivez moi monsieur?

Tout en attendant ton nom il te guida dans des couloirs pour arriver à une piéce fermée à clef. Il l'ouvris devant toi

-Prenez une arme et une armure et allez rejoindre le convois devant les portes de la ville

Sur des rateliers pendaient toute sortes d'épée, arc lance etc, et des armures de tout type. Parmis les épées, il y avais des épée courte surtout mais une ou deux épées a deux main et batarde étais dans un coin

Alucard, Nosferatu Alucard, dit'il en rentrant dans l'armurie.

Il parcouru rapidement du regard la salle pour ensuite se diriger vers une grosse armure de plate qu'il mis afin de voir si elle ne le genait pas trop.

D'ailleur faudrat que je repasse chez le marchant pour recommander tout mon matos.

Il prid ensuite une grosse épé batarde qu'il se fixa a sa droite, deux dagues, une dans son dos et une sur son armure et une épée courte qu'il rangea à sa gauche. Il se dirigea ensuite vers la plus grosse épée à deux main qu'il vu, la prid et tenta quelques mouvements pour voir si tous son matos ne le genait pas trop. Il regardat aussi si il pouvait trouver des couteaux de lancer.

Le tout était bien fixé et donc pouvais être assez aisément manié, a part l'épée batarde situé a droite, difficile a degainer pour un droitier. Tu trouva une ceinture avec 10 couteau de lancer qui pouvais etre glisée sur l'armure. L'armurier semblais étonée

-on peu pas dire que vous êtes un habitué des méthodes douce monsieur Alucard. Vous rendrez l'équipement a la ville d'Acrillia, mais il y a las bas de trés bon forgeron, vous devriez trouver votre bonheur

Le garde quand a lui pris une lance et un arc avec un carquois et sortis aprés toi, refermant la porte a clé et t'ammenant vers le convois

Celui ci était un simple attelage de chevaux tirant des grand chariots remplis de divers victuaille, blé, viande seche dans des tonneau remplis de sel. Un des chariots quand a lui était entiérement recouvert de toile, cachant son contenu

-on s'attend a plusieur attaques. Soyez prudent donc

-Escusez moi? J'aimerais aussi faire partie du convois

J'arrivais comme un cheveux sur la soupe mais aprés tout j'avais un peu l'habitude

-Puis je avoir quelques ressources pour partir avec vous? Je saurais me rendre utile

Le garde tiqua un peu

-une... femme? Bon si vous y tenez

Il t'emmena dans la piéce avec les rateliers pour te laisser choisir, observant chacun de tes mouvement

Parcourant les rateliers je choisi un arc de bonne facture avec plusieur fléches et une épée courte que je rangeais dans un fourreau a ma droite. Je pris également soin de prendre plusieur chiffons et de l'huile, ainsi qu'une pierre a briquet que je mis dans un sac accroché a ma ceinture

-Je suis fin prête, merci monsieur

Je repartis vers le convois, m'arretant devant les charettes pour les observer. Je mis alors mon arc a pendre a mes cotés, observant Alucard sous toute ses coutures

Elle me veut quoi, elle? Alucard, toujours de mauvaise humeur, commence à s'impatienter.

Bon si la gonzesse est prête, on peut peut être s'arracher. on va pas rester la toute la journée, autant profité de la lumière.

et vivement que y'ais quelque chose qui se rammenne que je puisse le défoncer.

sur ces sages pensées, Alucard, s'avance sur le chemin et prend la tete du convois, sur le qui-vive.

Alucard accelere pour s'éloigner du convois et ainsi ne pas être géné par le bruit des chariots. il prend un couteaux de lancé dans chaque main, il sort du chemin et continu d'avancer le plus silencieusement possible, gardant un oeil sur le chemin à la recherche de groupe suspect, recherchant aussi des lieux ou des trace d'embuscades possible.

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